Eric Bladt : « Alain Dienlangard, le mystique, le charismatique. Mais aussi l’humble serviteur. Il aimait prendre l’économat de la communauté, pas tellement pour l’exactitude des comptes !... mais pour les contacts avec les commerçants et aussi parce qu’il aimait faire de la bonne cuisine. Il mettait beaucoup d’amour dans ce qu’il faisait. Ainsi la catéchèse des enfants, l’accompagnement spirituel de certaines personnes, les sorties chez les Kabyles isolés, individus ou familles. Ce n’est pas pour rien qu’après toutes ces années, ses confrères l’appelaient « l’apôtre de la route ». Il était plutôt silencieux… sauf dans son milieu charismatique. »

 

 

Louis Juguet : « Alain était l’homme rapide : rapide à saisir, à réfléchir, à décider, à exécuter et même à… jeter. Il rendait service à toute heure, aux Kabyles, aux plus pauvres, à la veuve et à l’orphelin, à ses enseignants, aux coopérants. Le dépanneur en tout genre. »